Ce lundi 28 décembre, trois soldats Français du 1er régiment de chasseurs de Thierville-sur-Meuse ont été tués au cours d’une opération dans le centre du Mali. En effet, leur véhicule blindé a été atteint par un « engin explosif improvisé » au moment de la mission d’escorte dans le centre-est, près de la frontière du Burkina. La nouvelle a été annoncée par l’Elysée.
Les « engins explosifs improvisés »: une menace pour les militaires
Afin d’accomplir un travail plus efficace et augmenter leur capacité à protéger ensemble les civils, les armées Française et Malienne s’étaient récemment installées dans la zone pour une durée d’un mois, dans le cadre d’une mission de coopération. En contact avec RFI, un cadre de l’opération Barkhane avait indiqué que la principale menace pour les militaires de la zone étaient les « engins explosifs improvisés ». Un spectre qui s’est malheureusement réalisé, car trois soldats ont perdu la vie pour cette cause.
Le Président Emmanuel Macron fait part de sa profonde tristesse
Dans un communiqué, le Président Emmanuel Macron a fait part de sa profonde tristesse après avoir appris la nouvelle. Il « salue avec le plus grand respect la mémoire de ces militaires, morts pour la France dans l’accomplissement de leur mission. Il s’associe à la douleur de leurs familles, de leurs proches et de leurs frères d’armes et les assure de la reconnaissance et de la solidarité de la Nation », a publié l’Elysée.
METRODAKAR
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