Urgent: Voici l’équipe type de la CAN 2021 avec Saliou Ciss latéral gauche

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L’équipe type de la CAN 2021SUR LE BANC

Janny Sikazwe

Janny
Sikazwe

Janny Sikazwe

Toujours important d’avoir ce soldat qui entre pour gagner du temps dans le money time. Encore mieux s’il trouve un sifflet et se fait passer pour l’arbitre en signalant la fin de la récré plus tôt que prévu. Le Mali sera d’accord.

Gabadinho Mhango

Gabadinho
Mhango

Gabadinho Mhango

Un gamertag de Xbox 360 en guise de prénom, mais surtout une rumba frénétique : Mhango n°5, jugez plutôt. Ou n°3, comme son nombre de caramels pour porter les Flammes du Malawi en phase à élimination directe.

Tom Saintfiet

Tom
Saintfiet

Tom Saintfiet

Bons baisers du baroudeur belge aux 21 pays et quatre continents sillonnés, qui aura placé un petit territoire imbriqué dans le Sénégal sur une carte en moins d’un mois. Et non, Tom n’est pas Tintin.

Chaker Alhadhur

Chaker
Alhadhur

Chaker Alhadhur

Gardien d’un soir hors sol face au Cameroun, le latéral de l’AC Ajaccio et ses mains dans le dos ont fait l’unanimité. Tout comme les Comores, un rayon de soleil.

Nouhou Tolo

Nouhou
Tolo

Nouhou Tolo

La seule fois où Mohamed Salah a tiré la langue, c’était face au latéral des Seattle Sounders. Plutôt une bonne indication de son apport athlétique en piston hybride. De là à filer à Detroit ?

Youssef Msakni

Youssef
Msakni

Youssef Msakni

C’est important de valoriser l’art. La CAN, toujours un moyen idéal de « casser la démarche » comme le maestro des Aigles de Carthage.

Gabaski

Gabaski

Gabaski

Plus d’adducteur, ni d’épaule ou de cou d’ailleurs. Mais le regard de Médusa, une gourde personnalisée et une paire en marbre au niveau de l’entrejambe. De quoi voyager léger, vers la médaille du mérite.

Achraf Hakimi

Achraf
Hakimi

Achraf Hakimi

Deux coups francs directs dans l’espoir de faire la nique à Neymar et Messi à son retour au PSG, une embrouille piquante avec Mostafa Mohamed et toujours les mêmes courses de zinzin pour apporter le surnombre et nettoyer son couloir de fond en comble, jusqu’à le délester de toute poussière parasite. Son sourire Colgate n’a pas atteint le dernier carré, mais il aura, aux côtés de Sofiane Boufal, assuré des étincelles dans la …

Bruno Ecuele Manga

Bruno Ecuele
Manga

Bruno Ecuele Manga

Pour sa cinquième CAN, le colosse de Libreville a sorti la déneigeuse de la naphtaline. Dans la surface du Gabon, il a pallié les sautes de concentration de ses camarades et rattrapé les sorties de Jean-Noël Amonome. Avec un mot d’ordre : livrer son corps à la science, sonner la charge à dix contre onze pour les beaux yeux de la patrie. Une meilleure pub pour les Panthères, que les accointances dubaïotes ou pécuniaires du duo …

Mohamed Abdelmonem

Mohamed
Abdelmonem

Mohamed Abdelmonem

On pensait qu’Ahmed Hegazy était le seul patron de l’arrière-garde égyptienne. On a découvert le joueur du Future, son club actuel, infatigable et infranchissable clé de voûte de la « discipline Queiroz » . De celles qui vous font passer à travers quatre prolongations avec une pêche de nouveau-né. La claque qui nous fait tendre l’autre joue avec plaisir, malgré ce foutu …

Saliou Ciss

Saliou
Ciss

Saliou Ciss

Jordi Alba de l’Euro 2012 sommeillait donc dans un trentenaire de Nancy, lanterne rouge de Ligue 2, pendant tout ce temps. Des déboulés et une activité incessante, pour faire du couloir gauche Galsen une arme de destruction massive. Merci pour les centres au cordeau et les amortis poitrine aimantés.

Ablie Jallow

Ablie
Jallow

Ablie Jallow

Un des buts du tournoi en phase de poules face à la Mauritanie pour la toute première réalisation de son pays dans une CAN, une patate de forain pour s’offrir la Tunisie sur le gong. Dès que l’infirmerie l’a hélé, la Gambie ne savait plus sur quel pied danser. Prononcé « Diallo » , comme le roc du Sénégal, ancien de Génération Foot comme le facteur X du …

Ibrahim Blati Touré

Ibrahim Blati
Touré

Ibrahim Blati Touré

Il a failli lors de la séance de tirs au but face au Cameroun, au terme d’une course d’élan de manchot. Mais il en faudra plus pour effacer sa CAN royale où, avec son comparse Adama Guira, le nouveau joueur des Pyramids FC a ratissé large, récupérant un nombre incalculable de ballons, verticalisant sans relâche et marquant même du genou face au Sénégal.

Ibán Salvador Edú

Ibán Salvador
Edú

Ibán Salvador Edú

El Picaro, soit « le voleur » aux cheveux stabilotés en rouge, est l’élément indispensable au milieu de terrain. Celui qui travaille pour l’équipe et n’a pas de poste fixe. Entre tapage nocturne, tonneaux au sol et bagage technique aiguisé, l’ancien coéquipier de Stéphane Mbia à Fuenlabrada mérite son titre de « Public enemy » aux yeux des adversaires. Reste à savoir s’il est l’héritier de Flavor Flav ou de Johnny …

Mohamed Salah

Mohamed
Salah

Mohamed Salah

On l’avait laissé avec des crochets téléphonés et amoché par Thembinkosi Lorch, en 2019. Cette fois, c’était le Pharaon de Liverpool, fini la rigolade. Il a même ressuscité Trezeguet en prolongation.

Vincent Aboubakar

Vincent
Aboubakar

Vincent Aboubakar

Huit buts pour l’histoire, une présence tutélaire et une place sur le podium arrachée dans son seul sillage. Samuel Eto’o et Rigobert Song auraient préféré la Coupe, qu’ils se consolent : le surnom de « Lion indomptable » ne sera jamais galvaudé si au moins un héritier par génération ressemble à Abou le roi. Il faudra juste éviter le trashtalk envers Mo Salah, question de …

Sadio Mané

Sadio
Mané

Sadio Mané

En mission, Sadio de Casamance a bien grandi. Il est l’échine du Sénégal et le nouveau roi d’Afrique. « Lion de la Téranga, y a R j’ai fait c’qu’il fallait, fallait. »

Gardien

Gabaski (Égypte) : Plus d’adducteur, ni d’épaule ou de cou d’ailleurs. Mais le regard de Médusa, une gourde personnalisée et une paire en marbre au niveau de l’entrejambe. De quoi voyager léger, vers la médaille du mérite.


Défenseurs

Achraf Hakimi (Maroc) : Deux coups francs directs dans l’espoir de faire la nique à Neymar et Messi à son retour au PSG, une embrouille piquante avec Mostafa Mohamed et toujours les mêmes courses de zinzin pour apporter le surnombre et nettoyer son couloir de fond en comble, jusqu’à le délester de toute poussière parasite. Son sourire Colgate n’a pas atteint le dernier carré, mais il aura, aux côtés de Sofiane Boufal, assuré des étincelles dans la nacelle.https://www.youtube.com/embed/TTmD_ohBwBU

Bruno Ecuele Manga (Gabon) : Pour sa cinquième CAN, le colosse de Libreville a sorti la déneigeuse de la naphtaline. Dans la surface du Gabon, il a pallié les sautes de concentration de ses camarades et rattrapé les sorties de Jean-Noël Amonome. Avec un mot d’ordre : livrer son corps à la science, sonner la charge à dix contre onze pour les beaux yeux de la patrie. Une meilleure pub pour les Panthères, que les accointances dubaïotes ou pécuniaires du duo Lemina-PEA.

Mohamed Abdelmonem (Égypte) : On pensait qu’Ahmed Hegazy était le seul patron de l’arrière-garde égyptienne. On a découvert le joueur du Future, son club actuel, infatigable et infranchissable clé de voûte de la « discipline Queiroz » . De celles qui vous font passer à travers quatre prolongations avec une pêche de nouveau-né. La claque qui nous fait tendre l’autre joue avec plaisir, malgré ce foutu montant.

Saliou Ciss (Sénégal) : Jordi Alba de l’Euro 2012 sommeillait donc dans un trentenaire de Nancy, lanterne rouge de Ligue 2, pendant tout ce temps. Des déboulés et une activité incessante, pour faire du couloir gauche Galsen une arme de destruction massive. Merci pour les centres au cordeau et les amortis poitrine aimantés.


Milieux

Ablie Jallow (Gambie) : Un des buts du tournoi en phase de poules face à la Mauritanie pour la toute première réalisation de son pays dans une CAN, une patate de forain pour s’offrir la Tunisie sur le gong. Dès que l’infirmerie l’a hélé, la Gambie ne savait plus sur quel pied danser. Prononcé « Diallo » , comme le roc du Sénégal, ancien de Génération Foot comme le facteur X du Sénégal.https://www.youtube.com/embed/_anN93KK2-0

Ibrahim Blati Touré (Burkina Faso) : Il a failli lors de la séance de tirs au but face au Cameroun, au terme d’une course d’élan de manchot. Mais il en faudra plus pour effacer sa CAN royale où, avec son comparse Adama Guira, le nouveau joueur des Pyramids FC a ratissé large, récupérant un nombre incalculable de ballons, verticalisant sans relâche et marquant même du genou face au Sénégal.

Ibán Salvador Edú (Guinée équatoriale) : El Picaro, soit « le voleur » aux cheveux stabilotés en rouge, est l’élément indispensable au milieu de terrain. Celui qui travaille pour l’équipe et n’a pas de poste fixe. Entre tapage nocturne, tonneaux au sol et bagage technique aiguisé, l’ancien coéquipier de Stéphane Mbia à Fuenlabrada mérite son titre de « Public enemy » aux yeux des adversaires. Reste à savoir s’il est l’héritier de Flavor Flav ou de Johnny Depp.


Attaquants

Mohamed Salah (Égypte) : On l’avait laissé avec des crochets téléphonés et amoché par Thembinkosi Lorch, en 2019. Cette fois, c’était le Pharaon de Liverpool, fini la rigolade. Il a même ressuscité Trezeguet en prolongation.

Vincent Aboubakar (Cameroun) : Huit buts pour l’histoire, une présence tutélaire et une place sur le podium arrachée dans son seul sillage. Samuel Eto’o et Rigobert Song auraient préféré la Coupe, qu’ils se consolent : le surnom de « Lion indomptable » ne sera jamais galvaudé si au moins un héritier par génération ressemble à Abou le roi. Il faudra juste éviter le trashtalk envers Mo Salah, question de boomerang.

Sadio Mané (Sénégal) : En mission, Sadio de Casamance a bien grandi. Il est l’échine du Sénégal et le nouveau roi d’Afrique« Lion de la Téranga, y a R j’ai fait c’qu’il fallait, fallait. »


Sur le banc

Janny Sikazwe (Insolation United) : Toujours important d’avoir ce soldat qui entre pour gagner du temps dans le money timeEncore mieux s’il trouve un sifflet et se fait passer pour l’arbitre en signalant la fin de la récré plus tôt que prévu. Le Mali sera d’accord.

Gabadinho Mhango (Malawi) : Un gamertag de Xbox 360 en guise de prénom, mais surtout une rumba frénétique : Mhango n°5, jugez plutôt. Ou n°3, comme son nombre de caramels pour porter les Flammes du Malawi en phase à élimination directe.https://www.youtube.com/embed/KMKAcRJ19iU

Tom Saintfiet (Gambie) : Bons baisers du baroudeur belge aux 21 pays et quatre continents sillonnés, qui aura placé un petit territoire imbriqué dans le Sénégal sur une carte en moins d’un mois. Et non, Tom n’est pas Tintin.

Chaker Alhadhur (Comores) : Gardien d’un soir hors sol face au Cameroun, le latéral de l’AC Ajaccio et ses mains dans le dos ont fait l’unanimité. Tout comme les Comores, un rayon de soleil.

Nouhou Tolo (Cameroun) : La seule fois où Mohamed Salah a tiré la langue, c’était face au latéral des Seattle Sounders. Plutôt une bonne indication de son apport athlétique en piston hybride. De là à filer à Detroit ?

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