Deux cent vingt-trois (223). Ce n’est pas un indicatif téléphonique, même si ça fait penser à nos voisins maliens. Ce n’est pas non plus un article d’un très barbant Code général des impôts. Encore moins la version civile de la cartouche militaire 5,56 mm Otan, la fameuse 223 Remington.
Non ! C’est le nombre de slips appartenant à des hommes découverts chez un féticheur. Ils y ont été déposés par leurs très amoureuses chéries si soucieuses de la docilité de leur époux. À ce qu’il paraît, ce sous-vêtement masculin est très prisé par les femmes pour «gbasser» leur mari, comme disent les Ivoiriens. Avoir un homme totalement sous son contrôle, c’est si doux pour une femme.
Une autre trouvaille de nos angéliques moitiés qui fait fureur sur les réseaux sociaux fait appel à des simples allumettes. La technique consisterait à en brûler sept (7) et à les jeter dans de l’eau après avoir formulé son vœu. C’est efficace, disent-elles, pour précipiter la décision d’un petit ami indécis ou pour empêcher son homme d’aller voir ailleurs. Bienvenu au siècle de l’envoûtement amoureux !
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