Barrer la route au fascisme rampant au Sénégal : Quand Pastef érige le mensonge et les affabulations en armes de destruction massive !
Le Pastef, avec la dernière sortie de son Président, Ousmane Sonko, accusant le Président Macky Sall d’être « manipulé » par Sarkozy et Tony Blair, confirme sa ligne stratégique de propagande inspirée des méthodes fascistes du Nazi Goebbels, pour entretenir un climat de violence verbale et physique, qui lui est indispensable pour embrigader la jeunesse dans son projet anti démocratique et anti républicain, de «prise du pouvoir par la Rue » .
Pour ce faire, ce n’est plus les autorités publiques de la France qui dicteraient sa conduite au Président Macky Sall, mais des délinquants pris en » flagrant délit de mensonge » pour justifier leurs guerres impérialistes, aujourd’hui, hors du pouvoir et en maille avec leur propre Justice, qui continueraient à exercer leur sale besogne auprès de lui.
En effet, le Président de Pastef exploite le sentiment de répulsion des africains envers Sarkozy, pour sa salle guerre en Lybie sous Kadafi, et envers Tony Blair, pour son rôle zélé dans la sale guerre des Etats Unis contre l’Irak sous Saddam Hussein, pour tenter de faire du Président Macky Sall un « repoussoir » auprès de la jeunesse de notre pays.
Cette sortie fait suite à celle de « l’Administrateur Général de Pastef, qui, dans le but de retourner les « djakartamans » contre le Président Macky Sall, l’accuse publiquement, de recourir à une réforme du Code pénal et du Code de procédure pénale, pour installer la violence au pays, en réprimant à des peines de prison de longue durée, tout parent qui laisserait ses enfants emprunter ces instruments de transport !
A cette saga de mensonges et d’affabulations pour ternir l’image du régime et braquer la jeunesse contre lui, s’ajoute, la sortie du Capitaine Touré de la Gendarmerie, qui vient d’être sanctionné lourdement pour indiscipline et violation du secret de l’instruction encours sur l’Affaire Adja Sarr/Sonko » dans une accusation de viol, pour menacer de recourir à la Justice sous-régionale et internationale, pour être rétabli dans ses droits !
Pourtant, l’opinion publique n’a pas encore oublié, pour avoir été longtemps tenue en haleine » afin de gagner sa sympathie, sa prétendue « décision de démission de la Gendarmerie », pour éviter des représailles pour sa gestion des enquêtes sur cette affaire, que sa hiérarchie aurait jugée de « calamiteuse », pour empêcher l’éclatement de la vérité !
Ainsi, avec sa décision récente de recours judiciaire, il confirme qu’il avait menti éhontément sur sa démission, pour voler au secours du Président de Pastef, afin de le soustraire des mains de la Justice.
C’est cette stratégie de propagande politique basée sur le mensonge et les affabulations, qui est la marque de fabrique du fascisme au XXème siècle, que Pastef s’est appropriée au Sénégal, pour conquérir le pouvoir la « Rue », et soustraire son Président de la Justice de son pays.
Des lors, le danger que ce Parti constitue pour la République démocratique et laïque du Sénégal, la stabilité de ses Institutions, la paix civile et la convivialité de son peuple, ne devrait plus faire l’ombre d’aucun doute.
Il y va du sort de notre peuple, et non de celui de la promotion, lors des locales du 23 janvier prochain 2022, des partis et ou/de mouvements politiques, encore moins de leurs leaders.
Dans cette résistance nationale contre ce fascisme rampant, toute tergiversation serait un signal fort d’encouragement clair à son endroit, dans cette entreprise maléfique.
Les préoccupations de positionnement politique dans les listes électorales, et/ou de promotion politique individuelle par la conquête des collectivités locales qui sont présentement à l’ordre du jour, ne devraient pas occulter les enjeux que pose à notre peuple, le fascisme rampant incarné par Pastef.
Lui barrer la route par un large front républicain, démocratique et laïc, y compris en perspective des Locales, est devenu un devoir patriotique de premier ordre !
Ibrahima SENE PIT/SENEGAL
Dakar le 3 juillet 2021
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